Today, the Canada West Foundation released Supply Management: A win-win opportunity for reform / La gestion de l’offre : Une opportunité de réforme qui ne ferait que des gagnants

Report co-author Eric Dalke discusses the report, its findings and the way forward for Canada’s dairy industry.

The overwhelming evidence, from all quarters, means we’re past knowing “why” supply management must go. The key now is “how.” The report includes a plan to move forward in a way that is fair to everyone: Consumers, exporters – and yes, our dairy, poultry and egg producers as well. 

We have a win-win opportunity for all Canadians. For consumers – lower prices and a fair market for essential nutrition. For all those who rely on exports – increased access to important markets. And for our dairy farmers in particular – the ability to grow and export to the world.

It is time for political leadership. This is not a partisan issue. Progressives who espouse social justice simply cannot, in good conscience, defend a system which imposes an unnecessary burden of hundreds of dollars a year on low-income families with children, in favour of what is now a very small group of millionaire producers. Nor can conservatives defend a regulated cartel which flies in the face of market economics.

And now, given the looming NAFTA re-negotiations and other U.S. threats to Canada’s trade, we cannot afford to negotiate with one hand tied behind our backs. This is our major win-win opportunity: To strengthen our trade negotiating hand, and at the same time do what’s right for Canadian families and farmers.

– Martha Hall Findlay, President and CEO


Les preuves s’accumulent de toutes parts. L’actuelle application du programme de la gestion de l’offre des produits laitiers a fait son temps. Alors, la question primordiale devient: comment passer de ce modèle économique désuet, à une pleine ouverture sur les marchés ? 

Je vous présente un nouveau rapport qui a comme objectif d’aller de l’avant, tout en tenant compte des intérêts de chacune des parties prenantes, à savoir: les consommateurs, les exportateurs et évidemment les producteurs de lait, de volailles et d’œufs.

Saisissons cette opportunité d’une solution «gagnante-gagnante», pour tous les Canadiens.

D’abord des prix plus bas et un accès facilité à ces biens essentiels. Puis, pour toutes celles et ceux qui sont tributaires des exportations, un accroissement aux principaux marchés. Mais d’abord et avant tout pour nos producteurs laitiers, une opportunité de croître par des exportations à travers le monde.

Les décideurs politiques doivent assumer, enfin, leur rôle de leader. Ce n’est pas une question partisane, c’est une question de politique publique. Les progressifs qui défendent la justice sociale, ne peuvent plus fermer les yeux sur cette problématique. Ils ne peuvent plus soutenir ce système qui impose aux familles, à faible revenu, par surcroit avec des enfants, un fardeau financier injuste, alors que les bénéficiaires sont de moins en moins nombreux, mais de plus en plus fortunés. Les conservateurs de leur côté, ne peuvent plus défendre un cartel défiant les lois du libre marché.

Ajoutons à cette situation le fait que le Canada, plutôt tôt que tard, devra renégocier les accords de libre-échange avec ses partenaires nord-américains (ALENA). Nous ne pouvons négocier avec les mains liées.

La formule ici développée de «gagnant-gagnant » est une opportunité exceptionnelle pour négocier avec force un nouvel accord commercial au bénéfice des familles canadiennes et producteurs.

– Martha Hall Findlay, présidente et PDG