La version française suit l’anglais
CALGARY, AB June 5, 2017 – A workable transition plan away from the “untouchable sacred cow” of supply management can not only make dairy, poultry and egg products more affordable for Canadian families, it can benefit producers, expand the industry, and help our leverage in trade negotiations with the U.S., says a new Canada West Foundation report.
The report, Supply Management: A win-win opportunity for reform, includes a plan to move forward in a way that is fair to everyone – consumers, exporters and dairy, poultry and egg producers.
The evidence is overwhelming, said Martha Hall Findlay, President and CEO of the Canada West Foundation. “Lower prices and a fair market for essential nutrition for consumers; increased access to important markets for exporters; important leverage with the U.S. on trade negotiations; and, for our dairy farmers in particular, the ability to grow and export to the world,” said Hall Findlay, who wrote the report with policy analyst Eric Dalke.
“Canada is beyond knowing ‘Why’ supply management must go; the key now is ‘How’.”
It is time for political leadership on the issue, said Hall Findlay. “It is not partisan. Progressives cannot defend a system that imposes an unnecessary burden of hundreds of dollars a year on low-income families, in favour of what is now a small group of millionaire producers. Nor can conservatives defend a regulated cartel that flies in the face of market economics.
Given looming NAFTA renegotiations and other U.S. trade threats, trade-dependent Canada cannot afford to negotiate with one hand behind its back. “We have a win-win opportunity for all Canadians. Eliminating supply management will strengthen the country’s negotiation efforts – and at the same time do what is right for Canadians,” Hall Findlay said.
Une réforme de l’industrie laitière canadienne est une solution gagnante pour nos agriculteurs, nos consommateurs et notre économie tributaire du commerce
CALGARY (Alberta), le 5 juin 2017 – Un plan de transition réaliste visant à supprimer cette « vache sacrée intouchable » qu’est la gestion de l’offre pourra non seulement rendre les produits du lait, de la volaille et des œufs plus abordables pour les familles canadiennes mais aussi profiter à nos producteurs, développer notre industrie et améliorer notre position dans nos négociations commerciales avec les États-Unis, indique un nouveau rapport de la Canada West Foundation.
Ce rapport intitulé La gestion de l’offre – Une opportunité de réforme qui ne ferait que des gagnants propose notamment un plan permettant d’aller de l’avant d’une manière qui sera équitable pour tous et chacun – nos consommateurs, exportateurs et producteurs de lait, de volaille et d’œufs.
Les preuves sont accablantes, déclare Martha Hall Findlay, présidente et PDG de la Canada West Foundation. « Aux consommateurs, la réforme offrira des prix plus bas et un marché équitable pour des aliments nutritifs essentiels, à nos exportateurs, un plus large accès à des marchés importants, à notre pays, un atout de taille face aux États-Unis dans leurs négociations commerciales et, à nos producteurs de lait en particulier, la capacité de prendre de l’expansion et d’exporter à travers le monde », explique Mme Hall Findlay, qui a rédigé le rapport avec l’analyste de politiques Eric Dalke.
« Le Canada sait déjà “pourquoi” la gestion de l’offre doit être supprimée; la clé, maintenant, c’est “comment”. »
Il est temps qu’on fasse preuve de leadership politique à ce sujet, ajoute Mme Hall Findlay. « L’enjeu n’est pas partisan. Les progressistes ne peuvent défendre un système qui impose inutilement un fardeau de plusieurs centaines de dollars par année aux familles à faible revenu et en fait profiter ce qui est aujourd’hui un petit groupe de producteurs millionnaires. Et les conservateurs ne peuvent non plus défendre un cartel réglementé qui fait fi de l’économie de marché. »
Compte tenu de la prochaine renégociation de l’ALENA et d’autres menaces commerciales américaines, notre pays tributaire du commerce ne peut se permettre de négocier pieds et poings liés. « Nous avons ici une occasion de faire gagner l’ensemble de la population canadienne. L’élimination de la gestion de l’offre soutiendra les efforts de négociation du pays et, en même temps, servira les intérêts supérieurs des Canadiens et Canadiennes », déclare Mme Hall Findlay.